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Hervorming Professioneel Gesprek 2025: De HR-Verplichting die Vaardighedenbeheer Herdefinieert

29 décembre 2025
13 min de lecture
Hervorming Professioneel Gesprek 2025: De HR-Verplichting die Vaardighedenbeheer Herdefinieert - Actus - Actualités Ascent Formation

Réforme de l'Entretien Professionnel 2025 : L'obligation RH qui redéfinit le management des compétences

Depuis le 26 octobre 2025, l'entretien professionnel a officiellement changé de nom et de visage. La loi portant transposition des accords nationaux interprofessionnels en faveur de l'emploi des seniors transforme ce rendez-vous bisannuel en "entretien de parcours professionnel", avec une périodicité allongée, un contenu enrichi et de nouvelles obligations spécifiques pour les salariés expérimentés. Pour les entreprises, cette réforme n'est pas qu'un ajustement cosmétique : elle impose une refonte complète des pratiques RH, des outils de suivi, et du rôle des managers dans l'accompagnement des carrières. Entre allègement administratif et ambitions accrues, cette évolution législative place le développement des compétences au cœur de la stratégie managériale. Les RH et les directions doivent agir dès maintenant pour se mettre en conformité avant la date butoir du 1er octobre 2026.

Une réforme qui transforme le paysage RH français

L'entretien professionnel, instauré par la loi du 5 mars 2014, était devenu un rendez-vous obligatoire tous les deux ans, consacré aux perspectives d'évolution professionnelle du salarié. Complété par un état des lieux récapitulatif tous les six ans, ce dispositif visait à garantir l'employabilité des collaborateurs et à sécuriser les parcours. Mais dans les faits, cet entretien était souvent vécu comme une contrainte administrative, un exercice de case-cochage sans véritable substance stratégique.

La nouvelle loi publiée au Journal officiel le 25 octobre 2025 change radicalement la donne. Elle fait de l'entretien professionnel un véritable outil de gestion de carrière, en élargissant son périmètre, en allongeant sa périodicité et en l'articulant avec d'autres dispositifs comme la visite médicale de mi-carrière. Ce changement traduit une ambition forte : faire du développement des compétences un pilier central de la relation employeur-employé, à la croisée du droit de la formation, du dialogue social et de la prévention de l'usure professionnelle.

Les accords collectifs sous pression

Pour les entreprises qui appliquent déjà un accord collectif d'entreprise ou de branche portant sur la périodicité des entretiens professionnels, la transition est prévue jusqu'au 1er octobre 2026. Passé cette date, tous les accords non mis à jour seront caduques et automatiquement remplacés par les dispositions légales. Pour les autres entreprises sans accord spécifique, la réforme est entrée en vigueur dès le 26 octobre 2025. Cette période de transition doit être mise à profit pour former les managers, ajuster les outils RH et réviser les processus internes.

⚠️ À noter :

Les entreprises n'ayant pas mis à jour leurs accords d'ici le 1er octobre 2026 s'exposent à une nullité des clauses contraires à la loi et à un risque contentieux immédiat.

Ce qui change concrètement : périodicité, contenu et nouveaux jalons

La réforme bouleverse trois piliers essentiels de l'entretien professionnel.

Une périodicité allongée pour plus de profondeur

Fini l'entretien bisannuel systématique. Le nouvel entretien de parcours professionnel suit désormais un calendrier repensé. Un premier entretien doit être organisé au cours de la première année suivant l'embauche du salarié, permettant d'aborder très tôt ses aspirations, ses compétences et les premières perspectives d'évolution au sein de l'entreprise. Ensuite, l'entretien se tient tous les quatre ans, au lieu de tous les deux ans. Cette périodicité peut être adaptée par accord collectif d'entreprise ou de branche, mais sans jamais dépasser quatre ans.

L'état des lieux récapitulatif passe également de six à huit ans. Ce changement vise à alléger le formalisme administratif tout en laissant davantage de temps pour construire un suivi de carrière cohérent et qualitatif. Moins de fréquence, mais plus de profondeur : telle est la philosophie de cette nouvelle temporalité.

Pour l'abondement sanction du compte personnel de formation applicable dans les entreprises d'au moins 50 salariés, le dispositif est adapté en conséquence. Il intervient désormais si l'employeur ne justifie pas que le salarié a bénéficié, au cours des huit dernières années, des entretiens de parcours professionnel prévus et d'au moins une formation non obligatoire. En cas de manquement, le CPF du salarié doit être abondé à hauteur de 3000 euros.

💡 Exemple concret :

Un salarié embauché en janvier 2026 devra avoir son premier entretien en 2026/2027, puis en 2030/2031 et 2034/2035. Le bilan à 8 ans se fera en 2034. Tout manquement déclenchera la pénalité.

Un contenu enrichi : cinq thématiques obligatoires

L'entretien de parcours professionnel ne se contente plus d'évoquer les perspectives d'évolution. Il impose désormais cinq thématiques obligatoires à aborder durant cet échange structuré.

D'abord, les compétences actuelles du salarié et leur évolution doivent être analysées en profondeur. L'entretien doit permettre de faire le point sur les savoir-faire mobilisés, les compétences en cours d'acquisition et celles qui nécessitent un renforcement. Ensuite, les qualifications mobilisées dans l'emploi actuel et celles envisagées pour l'avenir sont au cœur de la discussion. Il s'agit de créer un pont entre les besoins de l'entreprise et les aspirations du collaborateur.

Les souhaits d'évolution professionnelle constituent le troisième pilier : mobilité interne, reconversion, validation des acquis de l'expérience, utilisation du CPF de transition... tout doit être mis sur la table. Les actions de formation réalisées et prévues forment le quatrième axe, permettant de vérifier que le collaborateur bénéficie bien d'un accompagnement continu dans son développement. Enfin, l'activation par le salarié de son compte personnel de formation doit être discutée, pour s'assurer que ce levier de développement est connu et utilisé.

Cette trame enrichie fait de l'entretien de parcours professionnel un moment de dialogue stratégique, bien loin de l'exercice formel que beaucoup d'entreprises pratiquaient jusqu'alors.

Des entretiens renforcés à mi-carrière et avant 60 ans

La réforme introduit deux nouveaux jalons spécifiques, destinés à mieux accompagner les salariés aux moments clés de leur vie professionnelle.

L'entretien de mi-carrière doit être organisé dans un délai de deux mois à compter de la visite médicale de mi-carrière prévue durant l'année civile du quarante-cinquième anniversaire du salarié. Cet entretien, qui s'ajoute au contenu habituel de l'entretien de parcours professionnel, doit aborder des sujets spécifiques : l'adaptation ou l'aménagement des missions et du poste de travail, la prévention des situations d'usure professionnelle, et les éventuels souhaits de mobilité ou de reconversion.

Cette articulation avec la médecine du travail est une innovation majeure. Elle traduit la volonté du législateur de faire de l'entretien un outil de prévention, en croisant les enjeux de santé et de compétences. Les mesures formulées par le médecin du travail après la visite doivent être intégrées dans la réflexion managériale.

Le second jalon intervient avant la fin de carrière. Lors du premier entretien de parcours professionnel qui intervient au cours des deux années précédant le soixantième anniversaire du salarié, des thématiques spécifiques doivent être abordées : les conditions de maintien dans l'emploi, les possibilités d'aménagements de fin de carrière, notamment les possibilités de passage au temps partiel ou de retraite progressive, et l'aménagement du poste de travail.

Cette attention portée aux salariés seniors répond à un impératif démographique et social. Dans un contexte de vieillissement de la population active et de recul de l'âge de départ à la retraite, accompagner les fins de carrière devient un enjeu stratégique pour les entreprises.

Les impacts concrets pour les RH et les managers

Cette réforme ne se limite pas à des ajustements techniques. Elle redéfinit en profondeur le rôle des ressources humaines et des managers de proximité dans l'accompagnement des parcours professionnels.

Refondre les outils et les processus RH

Les services RH doivent repenser entièrement leur arsenal. Les trames d'entretien doivent être mises à jour pour intégrer les cinq thématiques obligatoires et les entretiens spécifiques de mi-carrière et pré-retraite. Les calendriers de suivi doivent être réorganisés pour passer d'une logique bisannuelle à une logique quadriennale, avec une attention particulière aux nouveaux embauchés qui bénéficient d'un entretien dès la première année.

Les SIRH, systèmes d'information des ressources humaines, doivent être paramétrés pour tracer les nouveaux cycles d'entretiens et générer des alertes aux bonnes échéances. Sans ces ajustements techniques, le risque de non-conformité est réel, avec à la clé des sanctions financières pour les entreprises de 50 salariés et plus.

La documentation RH doit également être revue : contrats de travail mentionnant le droit à l'entretien de parcours professionnel dès l'embauche, guides managers, supports de communication interne... Tout doit refléter la nouvelle réalité légale.

Former et responsabiliser les managers

Les managers de proximité sont la clé de voûte du dispositif. Leur position privilégiée leur permet de repérer les besoins réels de leurs équipes et d'identifier précisément les actions de formation nécessaires à l'optimisation de la performance. Mais pour que l'entretien de parcours professionnel soit véritablement utile, les managers doivent être formés à la détection des compétences, à la conduite des entretiens professionnels et au suivi des parcours.

Beaucoup de managers ont l'habitude de mener des entretiens annuels d'évaluation, focalisés sur la performance passée. L'entretien de parcours professionnel est d'une tout autre nature : il ne s'agit pas d'évaluer, mais d'accompagner l'évolution. Cette distinction est fondamentale et nécessite un changement de posture managériale.

Les entreprises qui réussiront cette transformation seront celles qui investiront massivement dans la formation de leurs managers. Les compétences à développer sont multiples : écoute active, questionnement stratégique, connaissance des dispositifs de formation, compréhension des enjeux de prévention de l'usure professionnelle. Sans cette montée en compétences, l'entretien de parcours professionnel risque de devenir un exercice formel aussi creux que l'ancien entretien professionnel.

Articuler l'entretien avec le plan de développement des compétences

L'entretien de parcours professionnel n'est pas une fin en soi. Il doit alimenter le plan de développement des compétences de l'entreprise. Les besoins identifiés lors des entretiens individuels doivent être consolidés, hiérarchisés et traduits en actions de formation concrètes.

Cette articulation est d'autant plus importante que les entreprises de 50 salariés et plus doivent consulter le comité social et économique sur les questions intéressant la formation professionnelle. Les données issues des entretiens peuvent ainsi nourrir les réflexions sur les besoins futurs, les plans de succession, les parcours de reconversion ou les dispositifs d'alternance.

Dans les entreprises de moins de 300 salariés, un accompagnement spécifique est prévu. Les salariés peuvent préparer l'entretien avec l'appui du conseil en évolution professionnelle, et les employeurs avec l'appui de l'OPCO. Ces ressources externes doivent être mobilisées pour garantir la qualité du dispositif.

Les risques de non-conformité et les bonnes pratiques

Les entreprises qui ne se conformeront pas aux nouvelles obligations s'exposent à des risques juridiques et financiers, mais aussi à des enjeux en termes d'attractivité et de rétention des talents.

Des sanctions financières maintenues

Dans les entreprises d'au moins 50 salariés, si le salarié n'a pas bénéficié au cours des huit dernières années, des entretiens de parcours professionnel prévus et d'au moins une action de formation non obligatoire, l'employeur doit abonder son CPF à hauteur de 3000 euros. Cette sanction, héritée de l'ancien dispositif, reste pleinement applicable.

Au-delà de cette pénalité directe, le non-respect de l'obligation d'entretien peut être reproché à l'employeur en cas de litige, même dans les entreprises de moins de 50 salariés. Un salarié peut invoquer un défaut d'accompagnement dans son parcours, ce qui peut peser lourd en cas de rupture ou de contentieux prud'homal.

Les risques cachés : désengagement et turnover

Les sanctions financières ne sont que la partie émergée de l'iceberg. Une entreprise qui ne prend pas au sérieux l'entretien de parcours professionnel envoie un message clair à ses collaborateurs : leur développement n'est pas une priorité. Dans un contexte où 74% des actifs considèrent que se former relève avant tout de leur propre responsabilité, et où les attentes en matière d'évolution professionnelle n'ont jamais été aussi fortes, négliger ce dispositif, c'est prendre le risque de voir partir ses meilleurs talents.

L'entretien de parcours professionnel est un marqueur de la culture d'entreprise. Les organisations qui en feront un véritable moment de dialogue et de co-construction des parcours enverront un signal fort en termes de marque employeur. À l'inverse, celles qui le traiteront comme une formalité administrative continueront à souffrir de difficultés de recrutement et de rétention.

Les bonnes pratiques pour réussir la transition

Pour transformer cette contrainte réglementaire en opportunité stratégique, plusieurs leviers peuvent être actionnés. Commencer par réaliser un audit de conformité permet d'identifier les écarts entre les pratiques actuelles et les nouvelles exigences. Planifier la mise à jour des documents obligatoires et des processus internes permet d'éviter la précipitation de dernière minute.

Former massivement les équipes RH et les managers aux nouvelles dispositions légales et aux outils numériques associés est un investissement rentable. Impliquer tous les acteurs de l'entreprise, direction générale, RH, managers, salariés et représentants du personnel, garantit l'acceptation et l'efficacité du dispositif.

Digitaliser les processus via des plateformes LMS ou des modules intégrés au SIRH permet de centraliser les informations, d'automatiser les relances et de produire des tableaux de bord de suivi. Communiquer largement auprès des salariés sur leurs nouveaux droits, les échéances et les modalités pratiques crée un climat de confiance et d'adhésion.

Enfin, capitaliser sur les entretiens pour nourrir la stratégie RH transforme ce rendez-vous individuel en un outil de pilotage collectif. Les données agrégées permettent d'identifier les tendances, les besoins émergents, les risques d'obsolescence de certaines compétences.

L'entretien de parcours professionnel comme levier stratégique

Loin d'être une simple contrainte administrative, l'entretien de parcours professionnel peut devenir un véritable levier de performance et de différenciation pour les entreprises qui sauront se l'approprier.

Un outil de GPEC dynamique

L'entretien de parcours professionnel s'inscrit naturellement dans une démarche de gestion prévisionnelle des emplois et des compétences. En identifiant les compétences présentes, les besoins futurs, les souhaits d'évolution et les risques d'obsolescence, il permet d'anticiper les mutations et de préparer les transitions.

Dans un contexte de transformation digitale, écologique et organisationnelle, cette capacité d'anticipation est vitale. Les entreprises qui auront une vision claire de leur capital compétences, nourrie par des entretiens de qualité, seront mieux armées pour s'adapter aux disruptions du marché.

Un facteur de fidélisation et d'engagement

Les collaborateurs qui sentent que leur développement est pris au sérieux, que leur parole est écoutée et que leurs aspirations sont prises en compte sont significativement plus engagés. L'entretien de parcours professionnel, lorsqu'il est conduit avec sincérité et qualité, crée un lien de confiance entre le salarié et l'entreprise.

Dans un marché du travail tendu, où la guerre des talents fait rage, cette dimension relationnelle est déterminante. Proposer des perspectives d'évolution claires, investir dans la formation, accompagner les reconversions, aménager les fins de carrière : autant de leviers qui font la différence.

Un alignement entre stratégie et talents

L'entretien de parcours professionnel permet de créer un pont entre la stratégie de l'entreprise et les aspirations individuelles. En articulant les besoins de l'organisation avec les souhaits d'évolution des collaborateurs, il favorise un alignement bénéfique pour toutes les parties.

Cet alignement est d'autant plus important dans les PME et les structures en croissance, où chaque talent compte et où la polyvalence est souvent requise. Identifier les passerelles métiers, les compétences transférables, les potentiels cachés : voilà ce que permet un entretien de parcours professionnel bien mené.

2026 : l'année de la mise en conformité obligatoire

La réforme de l'entretien professionnel n'est pas une simple évolution technique. Elle traduit une vision renouvelée du développement des compétences, plaçant le salarié au centre de la construction de son parcours, tout en renforçant la responsabilité de l'employeur dans l'accompagnement et la prévention.

Pour les entreprises, le message est clair : l'entretien de parcours professionnel doit devenir un outil stratégique de gestion des talents, piloté avec rigueur et sincérité. Les quelques mois qui nous séparent de la date butoir du 1er octobre 2026 doivent être mis à profit pour former, outiller, communiquer et transformer les pratiques.

Celles qui prendront cette réforme au sérieux y trouveront un formidable levier de performance, d'attractivité et de fidélisation. Celles qui la traiteront comme une contrainte administrative de plus continueront à subir les pénuries de compétences, le désengagement et le turnover.

L'heure n'est plus à l'observation. Elle est à l'action.


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Sources officielles

  1. Loi n° 2025-989 du 24 octobre 2025 portant transposition des accords nationaux interprofessionnels
  2. Code du travail, article L. 6315-1 (version en vigueur depuis le 26 octobre 2025)
  3. Helloworkplace (novembre 2025) : "Entretien professionnel : ce qui a changé depuis le 26 octobre 2025"
  4. Éditions Tissot (octobre 2025) : "Réforme de l'entretien professionnel : le point sur les changements à anticiper"
  5. Paie-rh.com (2025) : "Entretien de parcours professionnel : définition, nouveautés et obligations 2025"
  6. Village Justice (novembre 2025) : "Entretien de parcours professionnel : comprendre la réforme de 2025 et ses implications pratiques"
  7. LégiSocial (novembre 2025) : "Réforme de l'entretien professionnel : le nouvel entretien de parcours professionnel"
  8. SVP (2025) : "Entretien de parcours professionnel : les changements apportés par la loi Senior"
  9. Crosstalent (novembre 2025) : "Entretien professionnel : ce que change la réforme 2025"
  10. Logitio (novembre 2025) : "Réforme de l'entretien professionnel : tout ce qui a changé en octobre 2025"
  11. Implid (décembre 2025) : "Réforme des entretiens professionnels : ce qui change à partir de 2025 et comment s'y préparer"
  12. Previssima (juillet 2025) : "Réforme du suivi des salariés : l'entretien professionnel devient entretien de parcours professionnel"
  13. La Boîte à Outils des RH (2024) : "Entretien professionnel et bilan à 6 ans : quelles obligations pour l'employeur ?"
  14. Service-Public.fr (2025) : "Qu'est-ce un entretien professionnel ?"
  15. Ministère du Travail et des Solidarités : "L'entretien professionnel"
  16. Staff & Go (novembre 2025) : "Obligation d'entretien professionnel : que dit la loi en 2025 ?"
  17. Training Orchestra (septembre 2025) : "Bilan à 6 ans : définition, réglementation et bonnes pratiques"
  18. Zola (juillet 2025) : "Tout savoir sur le bilan professionnel à 6 ans"
  19. Juritravail (2023, mis à jour 2025) : "Entretien professionnel obligatoire : les impacts de la réforme"
    Réforme de l'Entretien Professionnel 2025 : L'obligation RH qui redéfinit le management des compétences | Actualités Ascent Formation